Je peux simplement me décrire comme amoureux des lumières et des ambiances qui animent Marseille… Les capturer d’un clic au gré de mes ballades urbaines et les partager sur ma page Instagram s’adressent au plaisir du regard, des lieux de chez nous, des silhouettes qui les humanisent… Autant de déclics qui parlent d’un Marseille que je veux proposer au plus proche de sa diversité, cité plurielle si ancrée dans son présent, cité en mouvement qui trop souvent est restée figée dans les clichés de son passé turbulent ou trop rapidement caricaturée.
En fait Marseille délicieusement actuelle s’offre à une lecture plus universelle, un présent moderne qui ne dénie rien d’une histoire qui a façonné l’humeur de ses rues et son ambiance. Mes instantanés en noir et blanc s’affranchissent volontairement de la couleur qui pourrait distraire le regard, pour s’approcher de cette belle osmose qui réunit son patrimoine, ses accents et les indissociables personnes qui vivent et font cette ville.
Didier Verdureau est Marseillais, si on peut l’être après 34 de vie entre les Réformés et Vauban !
C’est un Provençal avec des vibrations et des ancrages sur notre Méditerranée.
Passionné de voyages et d’îles, Marseille est son territoire du quotidien, le Vieux Port mon jardin…
Photographe amateur, voici un peu plus de deux années qu’il partage ses clins d’œil et ses regards sur sa page instagram sous le pseudo @didiervdr, une Galerie ouverte aux autres et dédiée en grande partie à mes regards sur une ville méditerranéenne façonnée de ses traditions et de ses maillages sociaux.
Dans son Marseille s’entend les mots de Jean-claude Izzo,
“Sa beauté ne se photographie pas. Elle se partage.
Ici, faut prendre partie. Se passionner. Être pour, être contre. Être violemment.
Alors seulement ce qui est à voir se donne à voir.”
Ici, faut prendre partie. Se passionner. Être pour, être contre. Être violemment.
Alors seulement ce qui est à voir se donne à voir.”
Didier Verdureau a souhaité cependant la photographiée pour donner à voir
Dans son Marseille se reflètent les notes de Léo Ferré
“Ô Marseille…Mais qu’importe ton ciel qui se prend pour l’Orient
Qu’importe ton parler avec ses mots épiques
Ces mots qui sortent faire un tour avec l’accent
Ces mots qui ne sortent pas de Polytechnique
Oui, mais quels mots, Marseille ! Quand tu y mets ta musique
Ses photos proposées pour l’exposition sont au format carré qui caractérise les publications sur Instagram.